ven. 08 déc.
|Théâtre des Carmes
Carmen ou la marge libre
Le TRAC offre à l'ONG Assabil et l'association Djéliya Internationale le spectacle de Vincent Siano, Carmen ou la marge libre, dans le cadre d'un appel aux dons pour soutenir la culture au Liban. Venez donc nombreux pour cette soirée de soutien aux bibliothèques du Liban !
Heure et lieu
08 déc. 2023, 20:00
Théâtre des Carmes, 6 Pl. des Carmes, 84000 Avignon, France
Présentation
Spectacle organisé en soutien aux bibliothèques du Liban.
Tarif unique : 15€
Appel aux dons :
Depuis 2020, la situation du Liban ne cesse de se détériorer et la majorité de la population est de plus en plus démunie. Privée de financement public, l'ONG Assabil ne ménage pas ses efforts pour trouver des fonds afin de faire vivre au quotidien les bibliothèques publiques dont elle a la charge et d'organiser des animations culturelles variées.
En faisant appel à vos donc pour soutenir ce réseau de bibliothèques, l'association Djéliya Internationale parie sur la culture et l'art pour défendre la démocratie et la laïcité au delà des appartenances de chacun, chacune.
Pour en apprendre plus sur les dons à l'association Djéliya Internationale, cliquez ici.
Un mot sur le spectacle :
Une « Carmen » originale ?
Qui n’a jamais entendu les fameux airs de l’opéra de Bizet, Carmen ?
Vous avez sans doute tous en tête au moins quelques passages.
Vous les retrouverez dans cette nouvelle création du TRAC.
Mais avec un parti pris innovant du metteur en scène (tout à fait respectueux du compositeur) qui pourrait surprendre les adeptes de l’art lyrique.
Par ailleurs, il se peut que peu de gens aient lu le texte original (1845) de Prosper Mérimée qui avait inspiré les librettistes en 1875.
Et bien vous le découvrirez dans sa quasi intégralité, revu avec malice dans cette adaptation de Vincent Siano, qui place l’étonnant Mérimée en personne au cœur de son propre récit !
Le personnage de Carmen demeure une énigme. De tous temps, Carmen intrigue.
Elle évolue à sa fantaisie dans une « marge libre » qu’elle se créé contre vents et marées, et surtout dans une société d’hommes devant lesquels elle ne renie rien et surtout pas sa liberté d’aimer à sa manière.
Oui, marginale même en amour.
Jusqu’à la mort.